Un penalty manqué, un poteau et une incapacité à marquer en huit matches face à Chelsea… Lionel Messi a été le héros malheureux de l’élimination du FC Barcelone en demi-finale retour de la Ligue des champions.
Jean-Michel Bazire (Prince du Verger) survole le tournoi de la Casaq Ligue. Le leader du classement du championnat de France des drivers a une nouvelle fois fait tilt ce mercredi 25 avril en remportant la quatrième étape du Grand National du Trot à Bordeaux-Le Bouscat. Il a devancé le bon finisseur Dominik Cordeau (Roquépine Blanche), Pierre-Yves Verva (Riskaya) et les outsiders Igor Pierre Blanchon (Opéra du Lys) et François Lecanu (Organdi Danover).
Mené 2-0 et réduit à 10, Chelsea a réussi à se qualifier pour la finale de la Ligue des champions en arrachant le match nul à Barcelone (2-2), ce mardi. Le tenant du titre a payé cher un moment d’inattention et un penalty manqué par Lionel Messi.
Tout juste rentrée de Bratislava où elle a décroché in extremis son billet pour Londres, l’épéiste n’a pas chômé ce mardi lors d’une de ces journées marathon qu’elle apprécie. Nous l’avons suivie.
Le président du LOSC a fêté ce mardi ses 10 ans de présence à la tête du club dans Luis Attaque sur RMC. S’il se félicite du travail accompli, l’homme d’affaires n’a pas perdu son mordant au moment d’aborder la fin de saison. Et de commenter l’actualité de son équipe.
Les septuples champions de France ne bénéficieront certainement pas du soutien populaire samedi, en finale de la Coupe de France face aux amateurs de Quevilly. Qu’importe, ça les motive.
Info RMC Sport.De moins en moins présent auprès de l’équipe parisienne, le directeur sportif du PSG est-il sur le départ ? Alors que son nom circule du côté de l’Inter et que sa femme doit repartir définitivement en Italie, « Leo » laisse planer le doute.
Son arrivée à Lyon, un secret de polichinelle, a été officialisée ce mardi matin. Pour RMC Sport, le deuxième-ligne international explique les raisons de son départ au LOU, en Pro D2, où il retrouvera notamment son ami Sébastien Chabal.
Un vent d’élite souffle déjà sur Bastia depuis lundi soir. Si la montée du club corse n’est pas encore officielle, il se prépare déjà à son retour au paradis, 20 ans après l’enfer de Furiani.
