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PSG: une plainte pour violences déposée contre Sandy Baltimore

L'attaquante du PSG Sandy Baltimore fait l'objet d'une plainte pour violences après avoir eu un "différend" d'ordre privé au printemps dernier.

Une nouvelle affaire vient polluer le quotidien des féminines du PSG. Alors que l'affaire Hamraoui-Diallo est toujours en cours, la situation est complexe pour Sandy Baltimore. Comme révélé par le JDD, et confirmé par RMC Sport, l'attaquante du PSG, fait l’objet d’une “plainte pour violences ayant entraîné une incapacité de travail n’excédant pas 8 jours”.

L’internationale française se voit reprocher d’avoir frappé une jeune femme dans une rue de Bois-Colombes, dans les Hauts-de-Seine, au printemps dernier dans le cadre d’un “différend” d’ordre privé. Anciennes amies très proches, les deux jeunes femmes ne s'entendaient plus trop ces derniers temps et avaient chacune pris leur chemin. La jeune femme aurait dit du mal de la Parisienne à des connaissances communes. Raison pour laquelle elles se sont vues pour s’expliquer avant d'en venir aux mains. 

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Quatre coups de poing et une ITT

“J’ai constaté que Mme Baltimore était très agressive à mon égard, elle faisait de grands gestes dans ma direction, je lui ai donc demandé pourquoi elle faisait de si grands gestes comme cela, si elle faisait ça pour me frapper, confie la plaignante au policier qui a pris sa plainte, dès le lendemain des faits. C’est à ce moment qu’elle m’a porté rapidement trois coups de poing au niveau du visage. Elle a enchaîné avec un quatrième coup de poing qui m’a fait tomber au sol. Je n’ai pas perdu connaissance mais j’étais tétanisée”.

Cette dernière a été transportée à l’hôpital Beaujon à Clichy, tandis que Sandy Baltimore a été calmée par une amie. Sollicitée par le JDD, la joueuse du PSG évoque la plaignante “comme une soeur.”

“C’était une personne que je considérais beaucoup, ajoute-t-elle. Mais il y a eu trop de choses, des mensonges et des trahisons. C’est devenu une relation toxique. Pour me pousser à bout, il faut être très fort, mais j’ai craqué. On devait juste avoir une discussion mais quand on s’est retrouvée face-à-face et qu’elle m’a menti les yeux dans les yeux, c’était trop, le ton est monté. J’ai porté un premier coup, puis on s’est battues entre guillemets”, a-t-elle confié, ajoutant qu’elle allait donner sa “version des faits aux policiers”. Elle est convoquée la semaine prochaine au commissariat pour être entendue.

AS, avec AR