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Argentine: "Je ne sais pas qui est ce type", réplique Messi après s'être fait cracher dessus par un adversaire

Présent ce jeudi pour la victoire de l'Argentine face au Paraguay (1-0) lors de la troisième journée des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, Lionel Messi semble avoir été visé par un crachat d'Antonio Sanabria. La "Pulga" n'a pas voulu dramatiser la situation.

Lionel Messi n'a pas voulu donner d'importance au geste supposé d'Antonio Sanabria. Ce jeudi, à la 84e minute du match des éliminatoires de la Coupe du monde entre l'Argentine et le Paraguay (victoire 1-0 de l'Albiceleste), le joueur de 27 ans, lui aussi passé par le centre de formation du Barça, semble avoir craché en direction de la "Pulga".

Sanabria dément

"Je ne sais pas qui est ce type et je ne veux pas en faire toute une histoire, sinon il sera partout et deviendra un nom connu de tous", a répondu Lionel Messi après la partie, interrogé sur cette action. Le joueur de l'Inter Miami n'avait d'ailleurs pas remarqué le crachat de Sanabria et l'a seulement appris par ses coéquipiers, dans le vestiaire.

Interrogé sur le sujet, Antonio Sanabria a lui démenti: "J’ai vu les images et on dirait que je lui crache dessus, mais non. Il est loin en plus", a réagi le joueur du Torino. "Ce qu’il se passe c’est qu’à l’image, on ne voit que la vue de derrière et on dirait que je lui crache dessus. Mais c’est faux. Je démens totalement."

Lionel Messi refuse le brassard mais le récupère

Lionel Messi était entré en jeu à la 53e minute et a touché deux fois les montants. Pour autant, l'Argentine a remporté sa troisième victoire en autant de matchs lors des qualifications sud-américaines, dans une partie jouée à Buenos Aires. L'équipe dirigée par Lionel Scaloni a pris la tête, profitant du nul (1-1) du Brésil face au Vénézuela.

Au moment de fouler le terrain, Lionel Messi a récupéré le brassard malgré son refus affiché. Nicolas Otamendi s'est rapidement dirigé vers l'ancien attaquant du PSG pour lui filer ce tissu réservé au capitaine. Très acclamé par le public, le leader emblématique de la sélection s'est amusée de cette scène.

Gêné par une cicatrice, liée à une ancienne blessure à la jambe droite selon le sélectionneur argentin, le septuple Ballon d'Or a débuté sur le banc.

Nicolas Gonzalez, Julian Alvarez et Lautaro Martinez menant l'attaque de l'Albiceleste au coup d'envoi en l'absence de leur habituel leader offensif. Mais c'est le défenseur central Nicolas Otamendi (35 ans) qui s'est montré décisif en reprenant un corner de Rodrigo De Paul d'une volée magistrale au second poteau en début de match.

GL