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Bordeaux: la défense de Gérard Lopez sur les cas de Mouscron et Boavista

Invité de l’After Foot sur RMC ce mardi soir, le président des Girondins de Bordeaux Gérard Lopez est revenu sur la faillite de son club de Mouscron, tout en affirmant payer les salaires à Boavista, un autre de ses clubs en difficulté financière.

Gérard Lopez tente de rassurer son monde. Le président bordelais, invité de l’After Foot ce mardi soir pour évoquer la situation critique des Girondins, est aussi revenu sur deux autres de ses clubs en proie à des difficultés financières, Mouscron et Boavista.

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"À partir du moment où les factures n'ont plus été payées, j'ai payé les salaires pendant sept ou huit mois"

"Il y a un audit qui a été demandé par le conseil d'administration du LOSC, explique-t-il sur RMC au sujet de la situation de Mouscron. Ce conseil d'administration avait décidé de faire l'opération, car moins cher en coûts que l'équipe réserve du LOSC. J'étais minoritaire dans le conseil d'administration, qui a ensuite décidé de se retirer quand je suis parti. À partir du moment où les factures n'ont plus été payées, j'ai payé les salaires pendant sept ou huit mois". "J'ai aidé alors que je ne devais pas", a poursuivi Lopez, ajoutant aussi qu'il a "décidé de financer la totalité de l'école de foot".

Interpellé par Daniel Riolo au sujet des salaires qui seraient impayés à Boavista, un club interdit de recrutement à la suite de l’affaire Rami, Gérard Lopez se défend aussi: "Jamais de la vie. Cette année, le club est inscrit en Liga sans apport externe, en autonomie complète".

Tandis que l’Excel Royal Mouscron a été relégué en quatrième division belge - soit le statut amateur - à la suite de problèmes financiers, le club portugais est interdit de recrutement jusqu’au paiement des 200.000 euros qu’il doit à l'international français dans le cadre du conflit qui traîne entre les deux parties.

JAu avec After Foot