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Tarek Boudali : "On m'a proposé de faire des détections mais j'étais peureux"
Tarek Boudali était un bon petit manieur de ballon dans sa jeunesse. Dans son département des Hauts-de-Seine, les plus gros clubs locaux se sont intéressés à lui. Le jeune dribbleur a même eu l’occasion d’effectuer quelques essais dans des centres de formation. Mais il a refusé pour ne pas quitter le cocon familial.
Double Contact - Kaaris: "Je suis monté à 180kg au développé-couché"
RMC Sport lance « Double Contact », sa nouvelle rubrique « culture-sport ». Tout au long de l’année, on vous propose des entretiens funs, intimes et décalés avec des artistes qui font l’actualité. Alors qu’il vient de recevoir un disque de platine pour son album « Okou Gnakouri », on a rencontré le rappeur Kaaris pour qu’il nous raconte notamment comment il entretient son physique de colosse. Supporter du PSG et proche de Serge Aurier, le rappeur de Sevran parle également ballon rond et tennis. Sans oublier ses aptitudes hors-normes à la muscu.
Kaaris : « Je suis monté à 180kg au développé-couché »
Kaaris est connu pour son geste de la puissance, un gimmick repris par de nombreux sportifs, comme Paul Pogba ou Teddy Riner. Il faut dire que « Zongo le Dozo » (son surnom) a une force naturelle au-dessus de la moyenne. Il a pu s’en rendre compte en se testant au développé-couché…
Kaaris : « Je ne comprends pas pourquoi aucun Français ne gagne Roland-Garros »
Même s’il n’a jamais vraiment pratiqué ce sport, Kaaris est un grand fan de tennis. Chaque année, il attend avec impatience la quinzaine de Roland-Garros. Et il espère voir bientôt un représentant tricolore succéder à Yannick Noah, vainqueur en 1983.
Kaaris : « Serge Aurier, c’est un mec cool »
Kaaris est né en Côte d’Ivoire mais il a passé la majeure partie de son enfance à Sevran, en Seine-Saint-Denis. Dans le même quartier que Serge Aurier, de treize ans son cadet. Les deux hommes partagent d’ailleurs le même amour pour le PSG.
Kaaris : « Sur le terrain, je suis un bourrin »
Kaaris a fait un peu de foot en club dans sa jeunesse. Sous les couleurs de Sevran. Il se décrit comme un ailier rapide et besogneux, qui a vite compris qu’aucune carrière professionnelle ne lui était destinée.
Kaaris : « J’ai commencé le kick-boxing il y a quelques mois »
Pour garder la forme, Kaaris se rend régulièrement dans une salle de l’Essonne. Il y travaille son cardio et sa musculature. Récemment, il s’est même mis au kick-boxing. Une discipline qu’il est en train de découvrir.
Double Contact - Jason Brokerss: "J’ai fait un une-deux avec Samuel Eto’o"
RMC Sport lance « Double Contact », sa nouvelle rubrique « culture-sport ». Tout au long de l’année, on vous propose des entretiens funs, intimes et décalés avec des artistes qui font l’actualité. A l'occasion de son premier one-man show, à voir tous les mercredis et jeudis au Comedy Club, on a rencontré l'humoriste Jason Brokerss. Une discussion drôle et passionnante avec le fils caché de Ronaldo, sosie non officiel de Sergio Busquets sur le terrain. Un fan de ballon rond, qui ne renie pas son petit côté footix.
Double Contact - Fianso: "C’est scandaleux que Benzema ne soit pas en équipe de France"
RMC Sport lance « Double Contact », sa nouvelle rubrique « culture-sport ». Tout au long de l’année, on vous propose des entretiens funs, intimes et décalés avec des artistes qui font l’actualité. A l'occasion de la sortie de son album « #Jesuispasséchezso », disponible depuis le 27 janvier, on a rencontré le rappeur Fianso. Un échange passionnant avec le punchliner du Blanc Mesnil pour parler ballon rond, boxe et développé-couché. De son clip tourné à la Castellane à son rôle d’ambassadeur du Red Star 93, en passant par le drapeau algérien, la situation de Karim Benzema et les snaps de Presnel Kimpembe.
Fianso : « Tout le monde est un peu algérien en banlieue »
Sofiane est très fier de ses origines algériennes. Et il revendique ouvertement son côté « chauvin ». Une mentalité propre à tous les supporters des Fennecs. Et même à tous les jeunes des quartiers populaires d’après lui.
Fianso : « Kimpembe, c’est une bombe atomique »
Il y a quelques semaines, Presnel Kimpembe a posté des vidéos sur Snapchat dans lesquelles il s’ambiance en écoutant du Fianso. Le jeune défenseur du PSG a même fait tourner le son dans les vestiaires des champions de France, en faisant danser Blaise Matuidi ou Marquinhos.
Fianso : « J’ai tourné un clip à la Castellane, dans le quartier de Zidane »
L’épisode 1 de #Jesuispasséchezso s’appelle « Marseille-Castellane ». Pour tourner son clip, Fianso s’est rendu dans le quartier d’enfance de Zinedine Zidane. Et il a pu constater que l’ombre du Ballon d’Or 1998 plane toujours sur place. Il a d’ailleurs pu filmer au pied de l’ancien bâtiment de Zizou, quelques semaines avant qu’il ne soit détruit. Un souvenir forcément spécial.
Fianso : « C’est scandaleux que Benzema ne soit pas en équipe de France »
Comme de nombreux observateurs, l’artiste de 31 ans ne comprend pas pourquoi Karim Benzema n’est plus sélectionné avec les Bleus. Il aimerait que Didier Deschamps rappelle le buteur du Real Madrid sans tarder. Sur des critères purement sportifs.
Fianso : « Le rap de Ngapeth, c’est mortel ! »
De nombreux sportifs hochent la tête sur ses punchlines. Et quelques-uns sont même entrés en contact avec lui. C’est le cas de Sofiane Feghouli, le milieu de terrain de West Ham et de l’Algérie. Fianso est également connecté à Earvin Ngapeth, la star de l’équipe de France de volley.
Fianso : « Tout le 93 doit se rassembler derrière le Red Star »
Après avoir sorti le morceau « 93 Empire » avec Kalash Criminel l’été dernier, et réuni de nombreux rappeurs du département dans son clip, Sofiane a reçu un coup de fil de Patrice Haddad. Le président du Red Star lui a proposé de devenir l’ambassadeur du club de Ligue 2. Un rôle dans lequel il compte bien s’investir pleinement.
Fianso : « Sur le terrain, j’avais un style à la Gattuso »
Fianso a également usé quelques paires de crampons dans les équipes du Blanc Mesnil, le club de sa ville. Sans faire d’étincelles, mais avec une vraie implication sur le terrain. Hargneux et batailleur, il évoluait plutôt dans un rôle défensif.
Fianso : « A 16 ans, je suis monté à 135kg au développé-couché »
Dans sa jeunesse, Sofiane a longtemps fréquenté la salle de boxe de son quartier. Il a également participé à des compétitions de développé-couché, une discipline pour laquelle il a eu très tôt beaucoup de facilité. Au point de rafler quelques titres nationaux.
Fianso : « Je fais une à deux heures de sport tous les matins »
Depuis quelques mois, Fianso s’est remis sérieusement au sport. Motivé par un pote, il s’astreint à un programme intense et matinal, à base de cardio et renforcement musculaire. Une activité qui lui a permis de s’affiner, de retrouver du souffle et d’améliorer sa résistance.
Double Contact - Demi Portion: "On fraudait pour entrer voir les matchs à La Mosson"
RMC Sport lance « Double Contact », sa nouvelle rubrique « culture-sport ». Tout au long de l’année, on vous propose des entretiens funs, intimes et décalés avec des artistes qui font l’actualité. A l’occasion de la sortie de son quatrième album « 2 chez moi », disponible depuis le 20 janvier, on a rencontré le rappeur Demi Portion. Un échange posé avec le lyriciste de Sète pour évoquer son passé de footballeur, ses premières virées au stade de Montpellier, son pote Andy Delort et son beau-frère Adrien Regattin.
Demi Portion : "Andy Delort, c'était une petite crapule"
Andy Delort vient de la même cité que lui. Les deux hommes se connaissent bien et sont toujours en contact aujourd’hui, malgré la distance et le temps qui passe. Demi Portion se souvient parfaitement de la réputation de l’attaquant des Tigres, qui impressionnait déjà son monde lorsqu’il était tout jeune.
Demi Portion : "On faisait tous de la boxe pour se défouler"
Demi Portion a également fréquenté la salle de boxe près de chez lui. Histoire de se donner un peu sur le ring, entre potes. Il regrette d’ailleurs que son quartier de Sète, où il réside toujours, ne soit pas mieux fourni en équipements sportifs.
Demi Portion : "J'ai fait du badminton en club"
Au-delà de sa passion pour le ballon rond, Rachid a aussi testé pas mal de sports. Et il a même pratiqué le badminton en club durant quelques années. Une expérience assez originale qui lui a laissé de très bon souvenirs.
Demi Portion : "On fraudait pour entrer voir les matchs à La Mosson"
Demi Portion n’as pas beaucoup fréquenté les stades de foot dans sa vie. Faute d’opportunités et de moyens. Il a d’ailleurs découvert le Vélodrome de Marseille très tard. En revanche, il connait un peu La Mosson à Montpellier. Une enceinte où il parvenait souvent à s’introduire sans billet avec ses acolytes...
Demi Portion : "Dès qu'on rentrait de l'école, on jetait nos sacs et on descendait jouer au foot"
Comme la plupart des enfants de son quartier, le petit Rachid a consacré quasiment tout son temps libre à user ses baskets au milieu des tours. Entre fou rires et petits ponts. Juste pour le plaisir. Sans jamais rêver à un avenir professionnel.
Demi Portion : "Sur le terrain, j'étais assez technique"
emi Portion a passé sa jeunesse avec un ballon dans les pieds. Et il a joué longtemps en club à Sète, sous les couleurs de La Pointe Courte. Plutôt à l’aise sur le terrain, il se décrit comme un joueur offensif, même s’il a rangé ses crampons depuis bien longtemps…
Ahmed Sylla : "On m'a proposé d'aller gravir le Mont-Blanc... "
En tournant « L’Ascension », Ahmed Sylla a appris les bases de l’alpinisme. Il sait maintenant grimper un mur de glace avec des chaussures à crampons. De quoi lui donner envie de gravir un vrai sommet ? Ludovic Bernard, le réalisateur du film, lui a proposé de tenter le Mont-Blanc (4800m). Voici sa réponse…
Ahmed Sylla : « Il y a un jour où je suis tombé dans les pommes »
En haute-montagne, le moindre mouvement devient vite épuisant en raison du manque d’oxygène. Ahmed Sylla a pu s’en rendre compte lors de ces longues semaines de tournage. L’alpiniste en herbe a dû s’habituer à gérer ses efforts et à marcher doucement, tout doucement pour ne pas s’essouffler. Des précautions qui ne l’ont pas empêché de se faire une belle frayeur…
Ahmed Sylla : "Les sherpas sont très chauds au foot"
Dans le film, le personnage de Samy enfile un maillot de France 98 floqué Zinedine Zidane au début de l’expédition. Et se laisse embarquer dans un match improvisé avec des Anglais, fans de Liverpool, et des sherpas. L’occasion pour Ahmed Sylla de se frotter à ces guides tibétains particulièrement endurants et plutôt à l’aise balle au pied.
Ahmed Sylla : "On s'est perdu un soir, on a mis quatre heures à revenir au refuge"
A Chamonix, les conditions ont été vraiment compliquées par moments. Le froid, le brouillard, la grêle. Sans parler des missions pour rallier les refuges aux lieux de tournage. Au total, Ahmed Sylla a dû marcher des dizaines d’heures en s’enfonçant dans la poudreuse. Matin et soir. Avec quelques imprévus au passage…
Ahmed Sylla : "Je n'avais été qu'une fois à la montagne. Et j'avais fait de la luge..."
Ahmed Sylla n’est pas vraiment un montagnard. D’origine sénégalaise, l’acteur nantais se décrit lui-même comme un adepte du farniente, des plages et du soleil. Avant cette expérience, il n’était d’ailleurs allé qu’une seule fois au ski. Autant dire que ça lui a fait tout drôle de se retrouver dans un froid glacial à plus de 5000m d’altitude !