DIRECT. Ligue 1: vers un échec de DAZN sur les droits télévisés de la Ligue 1

Selon nos informations, un rendez-vous a eu lieu jeudi entre les dirigeants de DAZN et leurs homologues de la Ligue. Il n’a rien donné de nouveau et s’est même mal passé pour la plateforme britannique. Aucune nouvelle proposition financière n’a été faite.

>> Les détails de l'impasse

Merci à tous de l'avoir suivie.

"Je pense oui, on s'était fixé la barre des 35 points, vu le rythme des points pris par les équipes du bas de tableau je pense qu'il en faudra un peu plus mais une victoire pourrait sceller le maintien et surtout nous rapprocher des adversaires de devant puisqu'il y a des confrontations directes."

"Rayan (Cherki) et Malick (Fofana) seront testés demain dans l'idée qu'ils puissent jouer et ensuite on a Orel (Mangala) qui est absent."

"Ils avaient fait un bon match à l'aller, on avait nous aussi été capables de les contenir et de marquer sur une situation d'attaque rapide en seconde mi-temps. C'est un vrai match pour nous, un match important pour la suite car on a la volonté d'aller chercher la 7e place."

"C'est un cas particulier au même titre que chacun des joueurs. Il a sa singularité sur le fait que c'est un joueur qui est sorti très tôt, qui a un talent exceptionnel."

"Aujourd'hui, la position de l'effectif est assez claire. On rentre dans un processus de huit matchs, le huitième étant la finale et elle sera géré comme la continuité des matchs précédents. Pour la position du gardien de but, cette position peut être remise en cause avant, donc ça agira forcément sur ce qui va se passer ensuite mais il n y a pas de raisons que la position évolue si Anthony (Lopes) continue sur ses performances et il n y a pas de raison non plus qu'on crée une règle spéciale sur le fait que si il n'est pas perfromant, il ne peut pas être remis en cause."

"Pour moi, c'est horrible de disputer des matchs dans ces conditions là dans le sens où le football n'a pas de sens si il n'est pas joué pour quelqu'un et ce quelqu'un en général c'est le public. Je comprends le côté sécurité, je comprends qu'il faut prendre des décisions pour assurer la sécurité dans les stades et de temps en temps anihiler certains comportements mais à l'inverse je ne comprends pas que le football puisse se jouer sans spectateurs. Vous vous souvenez tous de la période du COVID et moi je détestais regarder les matchs à la télévision dans ces conditions-là. Même s'il y avait des fausses ambiances avec les sonos, pour moi un match de foot c'est une intercaction entre les équipes, entre les participants au jeu et le public."

"C'est une excellente nouvelle, ça va permettre au club de se positionner par rapport à ma situation qui était peut-être conditionné par ces choses-là et les résultats en fin de saison. Mes dirigeants m'ont beaucoup soutenu pendant cette période là, je les remercie."

"je ne serai pas formé, je vais surtout avoir un dossier de 500 pages à écrire. A la fois je suis content que ça se dénoue avec une solution mais je suis un peu déçu de la forme puisque j'aurai préféré faire la formation mais l'accès au savoir est conditionné par des prérequis que je n'avais pas. Je vais devoir faire un dossier de 500 pages à rendre pour la fin juin."

"Je l'ai dit avec un peu de nostalgie sur le passé, j'ai grandi avec le football sans la VAR, là où les arbitres étaient totalement maitres de leur choix, aujourd'hui on sait qu'ils sont souvent appelés par la VAR. C'est quelque chose qui va s'améliorer avec le temps je pense, moi je suis partisan du football un peu plus ancien dans le sens où l'arbitre doit prendre des décisions, des fois il y'a des erreurs d'autres fois non, les plus beaux matchs de l'histoire je pense qu'il y a eu des erreurs comme il y en a pas eu, c'est ma vision des choses."

Le match de clôture de la 28e journée de Ligue 1 entre le FC Nantes et l'Olympique Lyonnais se joue dimanche soir à huis clos, en raison d'une sanction infligée fin mars par la commission de discipline de la LFP pour utilisation d'engins pyrotechniques. Pour Antoine Kombouaré, coach de l'équipe nantaise, cette décision est "une absurdité".

"Je suis en colère parce que, même si je comprends les sanctions, moi j’ai vécu le Covid avec des matches à huis clos. C’était à mourir. Il faut réfléchir à des sanctions sans gâcher le spectacle. Un match de foot, c’est un spectacle. Pour moi, la pyrotechnie fait partie du spectacle. Depuis que la commission de discipline a alourdi les sanctions, ce n'est pas pour autant qu'on voit moins de fumigènes".

"Les supporters fautifs, il doit y en avoir 300. Alors pourquoi sanctionner toute la Beaujoire? (...) Aujourd'hui, vous êtes en train de négocier les droits TV et vous allez faire un match le dimanche 20h45 à huis clos. C'est une absurdité. Une grosse connerie".

"Une victoire à Nantes scellerait le maintien de l'OL. On sait que face à Reims on a fait une petite contre-performance, en sachant que tous les concurrents ont perdu, c'est l'occasion pour nous de prendre une revanche."

"Sincèrement, je ne pense pas à l'après, on sait qu'on a énomément d'échéances à venir, le cas Rayan Cherki, il attendra j'ai envie de vous dire, là sur la fin de saison c'est l'Olympique Lyonnais qui primera sur tout, quand il faudra se poser les questions on se les posera mais là pour le moment c'est l'Olympique Lyonnais qui prime sur Rayan Cherki.

"Je pense que j'avais pris conscience de certaines choses avant Toulouse. Je suis quelqu'un qui n'est jamais meilleur que quand il est au pied du mur mais il ne faut pas attendre ça pour essayer de toujours être bon, il faut toujours repousser les limites pour essayer d'être meilleur que la veille."

"Je prends mon temps, je ne prends aucun risque, je suis apte pour jouer des bouts de matchs, pas pour débuter, mais vous serez au courant quand je pourrai à nouveau débuter."

"Quand on est un compétiteur, on a envie de jouer tous les matchs, jouer chaque minute. Le coach fait ses choix, je les accepte, ce n'est pas une fin en soi. J'avais des objectifs à court terme que j'ai atteint, il reste encore pas mal de matchs, j'ai beaucoup de choses à apporter au collectif, c'est le plus important."

"Chaque match sera une finale pour nous, le début de saison a été compliqué, aujourd'hui on est dans une meilleure spirale, il faut continuer et essayer de gagner un maximum de matchs."

"Cela nous tenait à coeur, c'est un objectif qu'on a rempli, on est totalement concentré sur les matchs de championnat désormais."

Rayan Cherki est arrivé.

L'entraîneur lyonnais et le milieu offensif sont attendus face aux journalistes à partir de 12h30.

Dix jours et puis s'en va, Mike Mode n'aura pas passé longtemps au RC Lens. Âgé de 25 ans seulement et recruté le 25 mars dernier afin de diriger la cellule de recrutement, il a déjà quitté son poste. "Sa période d'essai a été rompue ce week-end", a expliqué le directeur général Arnaud Pouille ce jeudi en conférence de presse.

>> Lens a mis fin à la période d'essai de Mike Mode

Après la réunion entre cinq présidents de clubs de Ligue 1 et le patron de la FFF pour apaiser les tensions liées à l’arbitrage, le ballon est désormais clairement dans le camp de Philippe Diallo. Mis sous pression par les clubs professionnels pour qu’il y ait du changement dès cet été, six mois avant les élections fédérales, Diallo doit ménager la chèvre et le chou. Donner des gages aux uns sans se mettre à dos les autres ni montrer une quelconque soumission. Un numéro d’équilibriste politique amené à durer plusieurs mois.

>> Le dilemme de Diallo

Pierre Sage bientôt diplômé. L'entraîneur de l'Olympique Lyonnais va pouvoir se former cet été afin d'obtenir dans la foulée le Brevet d'entraîneur professionnel de football (BEPF), sésame indispensable pour exercer sur les bancs de Ligue 1, de Ligue 2 et de National 1.

>> Sage pourra finalement obtenir son diplôme d'entraîneur

Vendredi 05 avril :

Lille-OM (21h)

Samedi 06 avril :

Lens-Le Havre (17h)

PSG-Clermont (21h)

Dimanche 07 avril :

Brest-Metz (13h)

Montpellier-Lorient (15h)

Reims-Nice (15h)

Toulouse-Strasbourg (15h)

Monaco-Rennes (17h05)

Nantes-Lyon (20h45)