DIRECT. JO de Paris 2024: Amélie Oudéa-Castéra garde le mystère sur un éventuel rôle de Zidane à Marseille lors des JO

Dans un entretien accordé à Ouest France, Amélie Oudéa-Castéra a maintenu le suspense concernant un éventuel rôle que pourrait jouer Zinédine Zidane chez lui, à Marseille, lors du passage de la flamme olympique. "Ça fait vraiment partie de la relation de confiance entre le Comité d’organisation et nous. Il y a un respect scrupuleux de la confidentialité, notamment parce qu’on a envie que les Français aient des surprises. Le relais est long, je leur promets qu’ils ne seront pas déçus. Il y aura des moments forts autour de personnalités majeures du sport, et pas seulement", a confié la ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques.

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Dans une interview accordée à La Tribune Dimanche et à paraître dimanche, Emmanuel Macron confie avoir discuté avec le père de Kylian Mbappé d'une possible participation aux Jeux olympiques de Paris 2024:

"Je me suis retrouvé sur un terrain avec son père la semaine dernière [lors d'un match du Variétés Club de France, mardi] et je lui ai posé la question. Il m'a dit : « Il a envie de les faire. » J'espère vraiment que tous les clubs européens vont laisser cette liberté à leurs joueurs. Je me félicite que tous les clubs français le fassent et j'espère que les autres suivront. L'esprit olympique, c'est ça : se grandir."

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Cette fois c'est parti, le Belem - avec la flamme et 15 jeunes éclaireurs à son bord - est en train de quitter le port d'Athènes et va mettre le cap sur Marseille, où son arrivée est prévue le 8 mai prochain.

Avant de voir la flamme embarquer à bord du trois-mâts Belem ce samedi, Tony Estanguet a livré ses impressions et est revenu sur le choix de désigner Florent Manaudou comme le premier relayeur de la flamme olympique sur le sol français.

"C'est un moment magique. Jeudi j’ai senti qu’on avait passé un petit cap. C’est une nouvelle étape très importante aujourd’hui. On se sent prêt, on a hâte. Marseille sera un point de départ important. C’est une ville de sport et de passion. Ça fait beaucoup de sens de commencer par Marseille. Florent Manaudou ? C’était un choix assez évident, il coche toutes les cases, c’est l’un des plus grands champions. C’est formidable de le mettre à l’honneur. Le voyage de la flamme ? On n’a pas choisi la facilité, mais je suis ravi d’offrir cette expérience à des jeunes. Quel souvenir, quel symbole ! Le Belem est un magnifique voilier", a déclaré au micro de BFMTV le patron de l'organisation des JO de Paris 2024.

Les athlètes palestiniens devraient être "six à huit" aux JO de Paris, où le Comité international olympique les invitera s'ils ne parviennent pas à se qualifier, a indiqué vendredi son président Thomas Bach dans un entretien exclusif à l'AFP.

"Nous avons pris l'engagement clair que, si aucun athlète ne se qualifie sur le terrain, le comité national olympique (CNO) palestinien bénéficiera d'invitations", a annoncé le dirigeant. Interrogé sur l'ampleur de ces invitations, il a ensuite évalué le nombre de représentants palestiniens à "six ou huit" à Paris selon le résultat des qualifications, "qui sont encore en cours dans un certain nombre de disciplines".

Le jeune taekwondoïste palestinien Omar Ismaïl, 18 ans, a lui décroché son billet pour les JO. Il s’est récemment confié à RMC Sport.

La cérémonie d'ouverture des JO de Paris, le 26 juillet sur la Seine, "sera inoubliable pour les athlètes et tout le monde sera en sécurité", a assuré vendredi le président du Comité international olympique (CIO), Thomas Bach, dans un entretien exclusif à l'AFP.

Interrogé sur les risques d'attentat qui ont poussé Emmanuel Macron à envisager un plan de repli, le dirigeant allemand a expliqué que "l'approche très méticuleuse, très professionnelle" des autorités françaises lui donnait "confiance" dans le bon déroulement de la parade.

(AFP)

Après avoir été remise vendredi par la Grèce à Tony Estanguet, président du comité d'organisation, lors d'une cérémonie au Stade panathénaïque d'Athènes, la flamme des Jeux olympiques de Paris 2024 embarquera ce samedi à bord du trois-mâts Belem pour rallier Marseille où elle arrivera le 8 mai, avant d'entamer son long voyage à travers la France.

La flamme des Jeux olympiques de Paris 2024, allumée le 16 avril à Olympie, a été formellement remise ce vendredi par la Grèce à Tony Estanguet, président du comité d'organisation.

Elle embarque ce samedi pour rejoindre Marseille à bord du Belem.

Pour la traversée de 2.500 kilomètres entre Athènes et Marseille, le Belem sera escorté en permanence par un bâtiment de la marine nationale. Personne ne doit venir contrarier le chemin de la flamme olympique, même en plein milieu de la Méditerranée. C'est un BSAM, un bâtiment de soutien et d'assistance métropolitain, qui aura la charge d'assurer la protection du voilier pendant cette traversée.

"Toutes les mesures de sécurité ont été prises", assurait, hier, au micro de RMC, le capitaine du Belem. Sur ce BSAM, des unités d'interventions seront aussi mises à disposition jusqu'à Marseille. La flamme olympique est un symbole des Jeux olympiques et même en pleine mer des mouvements contestataires peuvent réaliser des actions pour faire passer un message. Pendant ces 12 jours de traversée, la flamme sera donc, comme sur terre, sous très haute surveillance. A bord, des gardiens de la flamme vont aussi embarquer sur le Belem. Ces personnes, issus le plus souvent de la gendarmerie ou de la police, doivent garantir l'intégrité de la flamme olympique, de jour comme de nuit. 

Nicolas Pelletier et Sonia Carneiro

L'animateur star, qui sera ce vendredi soir maître de la cérémonie officielle de passation entre la Grèce et la France, a porté hier la flamme olympique.

Nikos Aliagas a accepté de réaliser un relais avec la flamme olympique en Grèce dans le village de ses parents, à Missolonghi. Dans l'uniforme blanc des porteurs de la torche, Nikos Aliagas a été le premier relayeur de cette journée de jeudi, c'est lui qui est venu prendre le feu sacré dans le chaudron avant d'effectuer son relais, à une bonne allure, sur 300 mètres.

NP

Face au manque de bras dans la sécurité privée à l’approche des Jeux olympiques de Paris 2024, l’Etat a mis en place le PSGE (Participer à la Sécurité des Grands Évènements) depuis fin 2022. Ce dispositif permet de faciliter et de donner accès au plus grand nombre à une formation d’agent de sécurité. En 2023, les étudiants pouvaient ainsi se former et depuis quelques semaines. Les retraités sont démarchés par France Travail, ex-Pôle Emploi. En Ile-de-France, ils sont une centaine en formation.  

>> Comment des retraités vont intégrer la sécurité des Jeux olympiques

Sur X, Tony Estanguet a donné plus d’informations sur la cérémonie qui aura lieu vendredi au stade Panathenaïque de passation de la flamme entre la Grèce et la France

Ce sera ainsi Gabriela Papadakis qui récupérera la flamme aux Grecs, puis l’ancienne nageuse paralympique Béatrice Hess.

Anne Hidalgo, maire de Paris: "Les riverains, c’est environ 20.000 personnes directement impactées par la cérémonie d'ouverture, c'est-à-dire le périmètre ayant directement vue sur la Seine. Ces personnes auront des invitations et un accompagnement pour que leur vie ne soit pas trop impactée négativement, que ce soit par la cérémonie d'ouverture comme la période qui va précéder, avec le montage de ce grand stade, qui est l’équivalent de cinq Stade de France."

Tony Estanguet: "À 92 jours de la cérémonie d’ouverture, le Comité d’organisation a su sécuriser contractuellement 98% des besoins en sécurité privée. Sur les 2% restants, on continue. On a eu quatre vagues d'appels d'offres. On continue d’avancer. On va dépasser ces 98%. On a déjà des entreprises qui sont en train de se positionner. L’objectif est d’atteindre les 100%. L’Etat a su déployer des moyens de formation pour aider cette filière de la sécurité privée à se développer. C’était une filière sous tension, ce sera un héritage des Jeux."

Laurent Nunez, préfet de police de Paris (conférence de presse): "Une mise en place du dispositif huit jours avant la cérémonie d’ouverture, le jeudi 18 juillet. Le principe est le même que pour un site olympique: un périmètre organisateur et un périmètre d’interdiction de circulation avec dérogation. Pour le périmètre anti-terrorisme, avec des points de contrôle, on y inclut toutes la première rangée d’immeubles en bord de Seine. On a voulu englober l’ensemble des immeubles qui avaient un visuel sur la parade. Le délai de mise en œuvre est de huit jours avant."

"Il y aura aussi un périmètre d’interdiction de circulation motorisée. On a voulu que la vie continue, toutes les personnes qui vivent dans ce périmètre ou y travaillent pourront y rentrer sur dérogation."

Tony Estanguet au sujet de la cérémonie d'ouverture: "La sécurité est la priorité numéro un. Le Comité d’organisation a pris toute sa part sur cette question de la sécurité. On a bien conscience du contexte dans lequel on est. On a travaillé main dans la main pour définir et anticiper."

"L’ambition de cette cérémonie est toujours la même. C’est de montrer une cérémonie inédite ouverte à 220.000 personnes sur les quais hauts et 100.000 sur les quais bas, une cérémonie sur 6 km de long. On est dans nos temps de passage avec comme priorité numéro un la sécurité. Toutes les pièces du puzzle sont montées autour de la sécurité." (conférence de presse)

Ce jeudi, à partir de 15h, Laurent Nunez, préfet de police de Paris, et Tony Estanguet seront présents à une conférence de presse pour présenter la zone sécurisée de la cérémonie d’ouverture des JO.

Bienvenue sur le site et l'application de RMC Sport pour suivre en direct toute l'actualité autour des Jeux olympiques de Paris 2024. Alors que la flamme a récemment été allumée à Olympie, les JO débutent dans environ trois mois, avec une cérémonie d'ouverture prévue le vendredi 26 juillet.